Philippe Croq
Né à Douarnenez en 1961, Philippe Croq vit et travaille dans le sud de la France.
Après des études techniques, un métier dans l’industrie et une grave maladie, il abandonne cette vie au profit exclusif de la pratique de la peinture.
Il est diplômé des Beaux-Arts d’Aix-en-Provence et également lauréat de nombreux prix.
Philippe Croq expose en France et à l’étranger depuis 1992.
« Dans l’œuvre de Philippe Croq il y a l’être, il y a sa présence, sa vérité inexprimable autrement que par les formes, il y a l’érection d’un monde en charpie (comme chez Cy Twombly, Joël Peter Witkin). Mais les formes ne détruisent pas le monde : elles le remontent, elles le remontrent.» Jean-Paul Gavard-Perret
« Suite à une grave maladie, Philippe Croq interrompt sa carrière dans l'industrie aérospatiale pour se consacrer à la peinture. D'abord dans l'urgence et la nécessité, pour exorciser l'angoisse et le trauma, puis dans une perspective plus large, pour s'emparer du réel, en commençant par sa propre mémoire jusqu'à atteindre une dimension collective. Autodidacte donc au départ, jusqu' à l'obtention d'un DNSEP en 2010, mais œuvrant au cœur d'une culture riche, qui va, décomplexée, du Caravage à Joy Division, de Manet à Francis Ford Coppola, se saisit au passage de Francis Bacon, Joel-Peter Witkin, Cy Twombly... Les souvenirs d'enfance – photos, objets, mots – mais aussi les faits divers, figures célèbres, bribes de chansons, autant d'emprunts à l'esprit du temps, font des apparitions récurrentes sur ses peintures. Ils y sont « mis en peinture «, deviennent des formes qui produisent d'autres formes.... Presque toujours, l'ambiguïté règne dans cette peinture. Les formes volontairement imprécises, imparfaites, et les rapprochements de sens volontairement ouverts, ambigus renvoient à l'état du monde tel que le perçoit le peintre : confus, mouvant, impénétrable. » Caroline Cirendini extrait figurant dans le catalogue Philippe Croq paru en décembre 2012, aux Editions Lelivredart
« Dans l’œuvre de Philippe Croq il y a l’être, il y a sa présence, sa vérité inexprimable autrement que par les formes, il y a l’érection d’un monde en charpie (comme chez Cy Twombly, Joël Peter Witkin). Mais les formes ne détruisent pas le monde : elles le remontent, elles le remontrent.» Jean-Paul Gavard-Perret
« Suite à une grave maladie, Philippe Croq interrompt sa carrière dans l'industrie aérospatiale pour se consacrer à la peinture. D'abord dans l'urgence et la nécessité, pour exorciser l'angoisse et le trauma, puis dans une perspective plus large, pour s'emparer du réel, en commençant par sa propre mémoire jusqu'à atteindre une dimension collective. Autodidacte donc au départ, jusqu' à l'obtention d'un DNSEP en 2010, mais œuvrant au cœur d'une culture riche, qui va, décomplexée, du Caravage à Joy Division, de Manet à Francis Ford Coppola, se saisit au passage de Francis Bacon, Joel-Peter Witkin, Cy Twombly... Les souvenirs d'enfance – photos, objets, mots – mais aussi les faits divers, figures célèbres, bribes de chansons, autant d'emprunts à l'esprit du temps, font des apparitions récurrentes sur ses peintures. Ils y sont « mis en peinture «, deviennent des formes qui produisent d'autres formes.... Presque toujours, l'ambiguïté règne dans cette peinture. Les formes volontairement imprécises, imparfaites, et les rapprochements de sens volontairement ouverts, ambigus renvoient à l'état du monde tel que le perçoit le peintre : confus, mouvant, impénétrable. » Caroline Cirendini extrait figurant dans le catalogue Philippe Croq paru en décembre 2012, aux Editions Lelivredart
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