John Cejudo
John Cejudo est né en 1982. Il a étudié à la Villa Arson de 2002 à 2007 et a eu son diplôme (DNSEP) avec les félicitations du Jury.
Il vit à Nice et Berlin.
Sa pratique artistique est une recherche constante de la peinture.
Il se concentre sur la tension et la matérialité́ trouvées dans le plan pictural. Son travail interagit ainsi souvent avec différentes textures et surfaces comme alternatives aux habituelles toiles de coton ou de lin tendues sur châssis.
Il considère ainsi la peinture comme un mode de construction. N’étant pas attaché à une forme particulière mais plutôt à la condition de son émergence.
Il invoque très régulièrement le hasard en donnant une totale liberté́ au geste, à la pulsion de faire, à la spontanéité́ d’interagir avec les différents matériaux et couleurs qu’il utilise. Cette énergie de travail laisse une grande place à l’affirmation du geste, aux divers accidents, incidents et expériences se produisant à l’atelier. Il questionne le fondement du support et aime jouer avec celui-ci.
Il superpose à la surface, tout en la perturbant, des couches de matériaux au maillage large comme la tarlatane et la gaze avec différents types de toiles (vierges ou imprimées), bâches et tissus.
Il procède également à des assemblages, des collages qui redéfinissent, interagissent et perturbent également la surface. Il explore aussi la composition par l’assemblage, le collage, la couture, ou encore le transfert et les impressions diverses que ce soit de manière contrôlée ou plus sauvage. L’assemblage est un mode de construction constant, liant toutes ses investigations.
Sa pratique artistique est une recherche constante de la peinture.
Il se concentre sur la tension et la matérialité́ trouvées dans le plan pictural. Son travail interagit ainsi souvent avec différentes textures et surfaces comme alternatives aux habituelles toiles de coton ou de lin tendues sur châssis.
Il considère ainsi la peinture comme un mode de construction. N’étant pas attaché à une forme particulière mais plutôt à la condition de son émergence.
Il invoque très régulièrement le hasard en donnant une totale liberté́ au geste, à la pulsion de faire, à la spontanéité́ d’interagir avec les différents matériaux et couleurs qu’il utilise. Cette énergie de travail laisse une grande place à l’affirmation du geste, aux divers accidents, incidents et expériences se produisant à l’atelier. Il questionne le fondement du support et aime jouer avec celui-ci.
Il superpose à la surface, tout en la perturbant, des couches de matériaux au maillage large comme la tarlatane et la gaze avec différents types de toiles (vierges ou imprimées), bâches et tissus.
Il procède également à des assemblages, des collages qui redéfinissent, interagissent et perturbent également la surface. Il explore aussi la composition par l’assemblage, le collage, la couture, ou encore le transfert et les impressions diverses que ce soit de manière contrôlée ou plus sauvage. L’assemblage est un mode de construction constant, liant toutes ses investigations.
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