Aki Kuroda
Aki Kuroda est né en 1944 à Kyoto, Japon, il vit et travaille à Paris depuis 1980.
Il a réalisé sa première exposition personnelle en 1978 à Kunsthalle en Allemagne, puis à la galerie Maeght en 1980 et participe à la XIème Biennale de Paris la même année. Il a bénéficié de nombreuses expositions personnelles tant en France (Galerie Maeght, Centre d'Art Contemporain de Troyes) qu'au Japon (Musée National d'Art Moderne de Tokyo et Osaka), ou au Brésil (São Paulo). Il a réalisé des peintures murales pour le Pôle Universitaire Léonard de Vinci, la Maison de la Culture du Japon de Paris, le café du Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg et pour la ville de Paris en 2000.
Il a collaboré avec des architectes comme Tadao Ando et Richard Rogers afin de réaliser des peintures en relief au Japon. Son oeuvre n'a cessé d'inspirer les gens de lettres, de Marguerite Duras à Pascal Quignard, en passant par Michel Foucault.
La diversité de ses créations (décorateur de ballet, metteur en scène de spectacle, éditeur de revues) fait de lui un artiste aux multiples facettes. En 1985, il édite une revue qu'il appelle Noise, pour laquelle ont participé entre autres Jacques Derrida et Michel Serres. Artiste aux ressources profondes, il se fraie des « passages » entre des mondes divers : le modernisme et l’art contemporain, l’Orient et l’Occident, le corps et le cosmos, la mythologie et l’avenir… Il a conçu les décors du ballet Parade pour Angelin Preljocaj à l'Opéra de Paris et au Festival d'Avignon en 1993.
Depuis les années 90 en particulier, il poursuit une tentative originale qu’il nomme Cosmogarden (Jardin du Cosmos), sorte de spectacles-performances qu’il crée en collaboration avec des artistes travaillant dans des domaines comme la danse contemporaine ou l’architecture, mêlant différentes formes artistiques.
Artiste aux ressources profondes, il se fraie des « passages » entre des mondes divers : le modernisme et l’art contemporain, l’Orient et l’Occident, le corps et le cosmos, la mythologie et l’avenir... Aki Kuroda entraîne le spectateur dans un voyage dont il ne revient pas indemne. Condamné à une renaissance. A une descente dans les ténèbres pour mieux en ressortir vivant. Pour le passage vers un autre monde. L’ombre et la lumière. La nature et la ville. La plus profonde intériorité de l’âme à l’immensité cosmique. Dans ce maelström, entre microcosme et macrocosme, où se mélange encore passé, présent et futur, Aki Kuroda fait naître une jungle où tout bouge et vacille.
Il a réalisé sa première exposition personnelle en 1978 à Kunsthalle en Allemagne, puis à la galerie Maeght en 1980 et participe à la XIème Biennale de Paris la même année. Il a bénéficié de nombreuses expositions personnelles tant en France (Galerie Maeght, Centre d'Art Contemporain de Troyes) qu'au Japon (Musée National d'Art Moderne de Tokyo et Osaka), ou au Brésil (São Paulo). Il a réalisé des peintures murales pour le Pôle Universitaire Léonard de Vinci, la Maison de la Culture du Japon de Paris, le café du Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg et pour la ville de Paris en 2000.
Il a collaboré avec des architectes comme Tadao Ando et Richard Rogers afin de réaliser des peintures en relief au Japon. Son oeuvre n'a cessé d'inspirer les gens de lettres, de Marguerite Duras à Pascal Quignard, en passant par Michel Foucault.
La diversité de ses créations (décorateur de ballet, metteur en scène de spectacle, éditeur de revues) fait de lui un artiste aux multiples facettes. En 1985, il édite une revue qu'il appelle Noise, pour laquelle ont participé entre autres Jacques Derrida et Michel Serres. Artiste aux ressources profondes, il se fraie des « passages » entre des mondes divers : le modernisme et l’art contemporain, l’Orient et l’Occident, le corps et le cosmos, la mythologie et l’avenir… Il a conçu les décors du ballet Parade pour Angelin Preljocaj à l'Opéra de Paris et au Festival d'Avignon en 1993.
Depuis les années 90 en particulier, il poursuit une tentative originale qu’il nomme Cosmogarden (Jardin du Cosmos), sorte de spectacles-performances qu’il crée en collaboration avec des artistes travaillant dans des domaines comme la danse contemporaine ou l’architecture, mêlant différentes formes artistiques.
Artiste aux ressources profondes, il se fraie des « passages » entre des mondes divers : le modernisme et l’art contemporain, l’Orient et l’Occident, le corps et le cosmos, la mythologie et l’avenir... Aki Kuroda entraîne le spectateur dans un voyage dont il ne revient pas indemne. Condamné à une renaissance. A une descente dans les ténèbres pour mieux en ressortir vivant. Pour le passage vers un autre monde. L’ombre et la lumière. La nature et la ville. La plus profonde intériorité de l’âme à l’immensité cosmique. Dans ce maelström, entre microcosme et macrocosme, où se mélange encore passé, présent et futur, Aki Kuroda fait naître une jungle où tout bouge et vacille.
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